Du deuil à la danse
On abolit votre poste. » Il y a une décennie de cela, cette annonce m’a causé un choc lorsque l’entreprise qui m’employait a éliminé mon poste. À l’époque, je me suis sentie démolie, en partie parce que mon identité était très liée à mon rôle d’éditrice. Dernièrement, j’ai éprouvé un chagrin similaire en apprenant que mon contrat de pigiste prenait fin. Par contre, je ne me suis pas sentie secouée dans mes fondements, car j’ai vu Dieu user de sa fidélité en transformant ma tristesse en joie au fil des ans.
Une vraie communication
En marchant dans mon quartier du nord de Londres, j’entends des bribes de conversation dans de nombreuses langues : polonais, japonais, hindi, serbo‑croate et italien, pour ne nommer que celles‑là. Cette diversité donne un avant‑goût du ciel, même si je n’en comprends pas un traître mot. Quand j’entends différents accents et sons en entrant dans le café russe ou le marché polonais, il m’arrive parfois de réfléchir au côté merveilleux du jour de la Pentecôte, lorsque des gens de nombreuses nations ont pu comprendre ce que les disciples de Christ disaient.
Notre nouveau nom
Elle se qualifiait elle‑même de femme encline à s’inquiéter, mais lorsque son enfant s’est blessé dans un accident, elle a appris à échapper à cette étiquette réductrice. Au fil de la convalescence de son enfant, elle s’est réunie toutes les semaines avec des amis pour discuter et prier, sollicitant l’aide et la guérison divines. Au fil des mois, en transformant ses craintes et ses soucis en prières, elle en est venue à comprendre qu’elle passait de femme inquiète à femme combative. Elle sentait que le Seigneur lui donnait un nom nouveau. Son identité en Christ s’approfondissait au fil des épreuves déchirantes auxquelles elle aurait préféré échapper.
La paix comme un fleuve
Une connaissance de mon cours d’exercice physique m’a dit : « Je ne suis pas surprise que vous dirigiez des retraites. Vous avez une belle aura. » Sa remarque m’a un peu prise de court, mais agréablement surprise, car je me suis rendu compte que ce qu’elle considérait comme une « aura » était en réalité la paix de Christ en moi. Si nous suivons Jésus, il nous accorde la paix qui surpasse toute intelligence (PH 4.7) et qui irradie de nous, bien que nous n’en soyons pas forcément conscients.
L’Esprit promis
Élisée avait de la ténacité et de l’audace à revendre. Ayant côtoyé Élie, il avait vu Dieu utiliser ce prophète pour accomplir des miracles et exprimer la vérité à une époque où le mensonge abondait. 2 Rois 2.1 raconte qu’Élie était sur le point de « [monter...] au ciel » et qu’Élisée refusait son départ.
Bien agir aux yeux de Dieu
Constructeurs cowboys » est un terme que bon nombre de propriétaires britanniques utilisent pour désigner de mauvais travailleurs de la construction. Ce terme se répand avec crainte ou regret, souvent en raison d’expériences fâcheuses.
La prunelle de son oeil
Le bébé d’une amie souffrait de crises, si bien qu’elle a vite emmené à l’hôpital sa fillette par ambulance, le coeur battant la chamade tandis qu’elle priait pour son enfant. L’amour profond qu’elle vouait à ce poupon s’est imposé de nouveau à elle tandis qu’elle tenait les doigts minuscules dans sa main, se remémorant aussi combien plus le Seigneur nous aime et que nous sommes « la prunelle de son oeil ».
Inconnus et étrangers
Après avoir garé mon vélo, j’ai suivi du doigt mon itinéraire sur mon plan de Cambridge pour me rassurer. N’ayant pas trop le sens de l’orientation, je savais que je risquais fort de me perdre dans tout ce dédale de rues longées d’innombrables immeubles historiques.
S’entraîner à vivre
J’ai récemment rencontré une femme qui a poussé son corps et son esprit jusqu’à la limite. Elle a gravi des montagnes, elle a affronté la mort et elle a même battu un record Guinness. Elle relève toutefois actuellement un défi bien différent, celui d’élever son enfant handicapé. Le courage et la foi dont elle a fait preuve en escaladant des montagnes, elle les investit maintenant dans son rôle de mère.